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Cultures

Projet ressource. Préserver et améliorer la qualité des sols du Jura et du Jura bernois

La journée de clôture du projet Terres Vivantes s’est déroulée mardi à Loveresse. Les différents pôles techniques mis en place à cette occasion ont attiré plusieurs centaines d’agriculteurs.

Ophélie Sauzet, de l’Hepia, présente un profil de sol, qui permet d’établir un diagnostic complet mais qui est intrusif et nécessite des moyens lourds (pelle rétro).L. Pillonel

Ludovic Pillonel

Ludovic Pillonel

17 septembre 2024 à 00:00

Temps de lecture : 7 min

Un couvert en interculture courte pour 350 francs au maximum, y compris la semence, le semis et la destruction: comment faire? Où positionner la matière organique dans le sol? Quel est l’impact du travail du sol sur l’érosion? La journée Terres Vivantes, organisée mardi 10 septembre à Loveresse, dans le Jura bernois, avait pour but de répondre à ces questions et à bien d’autres. Cet événement marquait la fin de la mise en œuvre agricole du projet ressource lancé en 2019 (lire l’encadré). Les quelque 85 exploitations parties prenantes ont pu choisir des mesures en lien avec les trois axes de l’agriculture de conservation, à savoir l’intensité végétale, l’intensité de travail du sol et l’apport d’amendements organiques, sur un total de 3200 hectares de terres assolées.

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