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Vitiviniculture

Libre-échange. L’accord avec le Chili irrite la branche vitivinicole indigène

L’accord de libre-échange actualisé signé avec le Chili prévoit une concession pour l’importation de vin rouge de ce pays. Les acteurs de la défense professionnelle ne comprennent pas cette décision.

Vignoble dans la vallée de Colchagua, au Chili.iStock

Ludovic Pillonel

Ludovic Pillonel

12 juillet 2024 à 13:45, mis à jour le 15 juillet 2024 à 11:50

Temps de lecture : 4 min

Un total de 15 000 hectolitres de vin rouge importé non soumis aux droits de douane et hors du contingent tarifaire. C’est la concession convenue avec le Chili dans le cadre de la nouvelle mouture de l’accord de libre-échange signée dernièrement avec ce pays d’Amérique du Sud. Une disposition qui n’a pas manqué de faire réagir la défense professionnelle de la branche vitivinicole. «La Fédération suisse des vignerons (FSV) a fait parvenir en février un courrier cosigné par l’Interprofession de la vigne et du vin suisse (IVVS) et l’Union suisse des paysans (USP) au conseiller fédéral Guy Parmelin afin de lui faire part de son incompréhension face à cette décision», déclare Hélène Noirjean, directrice de la FSV.

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