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Droit. Le brevetage du vivant remet en question plusieurs acquis

Les nombreuses demandes de brevets sur des caractéristiques de plantes inquiètent les milieux agricoles, les sélectionneurs et les milieux de défense des droits des paysans.

Le refus d’un dernier recours en octobre 2024 contre une patente sur un soja a ravivé la controverse autour du brevetage du vivant.iStock

Pierre-André Cordonier

Pierre-André Cordonier

10 février 2025 à 08:53, mis à jour à 09:00

Temps de lecture : 4 min

Les plantes ou gènes obtenus par des méthodes naturelles, comme les croisements et la sélection, ne peuvent pas en principe faire l’objet de brevet. Or, cette liberté pourrait être sérieusement menacée par les grands groupes agrochimiques.

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