La production de semences de maïs est associée à des travaux spécifiques gourmands en main-d’œuvre et qu’il s’agit de bien maîtriser. Reportage sur La Côte.
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2 septembre 2024 à 13:59
En raison du printemps frais et pauvre en soleil, la castration du maïs destiné à la production de semences a débuté plus tardivement que d’habitude cette année. «Quand les panicules mâles apparaissent sur les plantes des lignées femelles de maïs, il faut tout de suite les enlever afin d’éviter l’autofécondation», indique Steve Bugnon. Quatre passages, lors desquels la castration mécanique a été complétée par une castration manuelle pour pallier les «oublis» de la machine, ont mobilisé deux personnes lors du jour et demi qu’a duré cette étape charnière, pendant la deuxième quinzaine de juillet.
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