Logo

Vitiviniculture

Nomination. Simon Guignard est élu président de la Cave des Viticulteurs de Bonvillars

La Cave des Viticulteurs de Bonvillars a élu Simon Guignard, 35 ans, à sa présidence. Il s’agit d’un tournant générationnel qui s’accompagne d’engagements renforcés pour l’environnement et la valorisation du terroir vaudois.

À 35 ans, Simon Guignard devient le plus jeune président de l’histoire de la CVB.CVB

Comm

Comm

17 décembre 2024 à 16:16

Temps de lecture : 1 min

Simon Guignard a été désigné président de la Cave des Viticulteurs de Bonvillars (CVB), une institution historique du vignoble vaudois fondée en 1943. À 35 ans, il devient le plus jeune président de l’histoire de la cave.

Présent depuis plus de dix ans au sein du conseil d'administration et membre du comité de la Fédération des Caves Viticoles Vaudoises, Guignard entend renforcer la coopération et défendre les intérêts des vignerons face aux défis climatiques et économiques.

Tournant environnemental

La CVB s’inscrit désormais dans une démarche environnementale marquée. La modernisation des installations inclut l’installation de panneaux solaires et d’un système de chauffage écoénergétique, permettant à la cave de se passer des énergies fossiles. «Innover dans nos pratiques énergétiques et nos activités quotidiennes est une priorité pour protéger notre environnement et préparer l’avenir», souligne Olivier Robert, directeur général de la cave.

Grâce à ses 30 exploitants, la CVB continue de conjuguer tradition et innovation pour assurer la pérennité de la viticulture locale. L’année 2024 s’est révélée fructueuse avec plusieurs distinctions au Grand prix du vin suisse: des médailles d’or pour l’Arquebuse, le Pinot Gris et le Vin des Croisés Rosé, ainsi qu’un deuxième prix pour le Gamaret Gourmand.

La cave s’est également illustrée dans d’autres concours prestigieux, tels que l’Expovina Wine Trophy et les Vinalies Internationales de Paris.

Dans la même rubrique

Vitiviniculture

Vins suisses. Pas plus d’indications sur les étiquettes

Les étiquettes des vins suisses n’ont pas besoin de contenir davantage d’indications, comme la valeur nutritive et les ingrédients. Le Conseil fédéral renonce à une application sur le marché helvétique d’un règlement européen en ce sens, indique-t-il dans une réponse publiée mercredi 13 novembre.