La direction d’AgriGenève sera assumée dès le 2 avril par Héloïse Candolfi. Cette dernière succède à François Erard qui prendra sa retraite.
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1 février 2024 à 10:16, mis à jour à 10:20
Héloïse Candolfi succédera à François Erard à la direction d’AgriGenève. Au bénéfice d’un master en géographie et histoire économique de l’Université de Genève, d’un diplôme en développement durable de l’Université de Berne ainsi que de certificats d’études avancées en urbanisme et en management, Héloïse Candolfi est actuellement employée comme adjointe à la direction générale de l’Office cantonal de l’agriculture et de la nature du Canton de Genève (OCAN).
Elle a été engagée à ce poste en 2016 dans le cadre de la fusion des services de l’agriculture avec ceux de la nature afin d’accompagner ce processus. Originaire de Genève, elle a travaillé auparavant pour Pro Natura de 2013 à 2016 comme coordinatrice Territoire et écosystèmes.
Héloïse Candolfi quittera la fonction publique avec "la satisfaction d’avoir accompli sa mission" pour rejoindre AgriGenève le 2 avril 2024. "Prendre la direction d’AgriGenève est un défi magnifique. Dans le cadre de mon orientation professionnelle, les fondements et les objectifs de l’agriculture sont ce qui fait le plus de sens pour moi", indique-t-elle.
"Ses connaissances du milieu agricole, y compris de la politique agricole, au travers de son poste à l’OCAN, ses compétences professionnelles et son réseau sont quelques-unes des qualités qui ont pesé en faveur de sa candidature. Être à la direction d’AgriGenève demande des aptitudes diversifiées et non pas uniquement agronomiques, celles-ci se trouvant dans l’équipe", a indiqué Patricia Bidaux, présidente d’AgriGenève.
"Il m’apparaît primordial d’accompagner l’équipe d’AgriGenève dans ses tâches et de m’appuyer sur ses compétences et ses qualités. Collaborer avec tous les partenaires, dont les services publics en lien avec l’agriculture, est un autre axe central que je souhaite renforcer", précise Héloïse Candolfi.
Prométerre accepte les recommandations suite à l’audit réalisé, entre autres, sur le travail l’Office de crédit agricole (OCA), en matière d’améliorations foncières (AF). Elle regrette toutefois que les points positifs relevés ne soient que peu valorisés.
