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Recherche. Cultiver «maïs sur maïs» rediscuté au niveau fédéral

La gestion de la chrysomèle des racines du maïs doit être redéfinie. L’Office fédéral de l’agriculture propose deux possibilités qui seront mises en consultation l’année prochaine.

La chrysomèle des racines du maïs (à gauche une femelle, à droite un mâle) n’a pas encore établi de population en Suisse. Des coléoptères capturés sont arrivés des pays voisins.Shutterstock

Jil Schuller, BauernZeitung Texte adapté et traduit par Pauline Clerc

Jil Schuller, BauernZeitung Texte adapté et traduit par Pauline Clerc

20 février 2024 à 08:45, mis à jour à 10:40

Temps de lecture : 4 min

En Suisse, la chrysomèle des racines du maïs est toujours considérée comme un organisme de quarantaine, contrairement à l’Union européenne. «Mais elle ne remplit plus les critères internationaux de cette catégorie, car elle est trop répandue», a expliqué Peter Kupferschmied de l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG), le mercredi 7 février 2024, lors de la rencontre du Cercle international d’information des producteurs de maïs (acronyme en allemand: IMIR) à Aesch (BL). Le nombre de coléoptères capturés et de cantons concernés n’a cessé d’augmenter. Peter Kupferschmied est revenu sur l’épineux problème des restrictions de rotation de cultures contre la chrysomèle.

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