Langue bleue. Des pertes difficiles à décompter et l’attente inquiète du printemps
Comme d’autres, l’exploitation de l’École cantonale d’agriculture de Courtemelon (JU) doit composer avec la langue bleue.
Partager
1 novembre 2024 à 15:00
Temps de lecture : 3 min
Temps de lecture : 3 min
«Pour l’instant, les dégâts semblent limités. Nous n’avons pas perdu de vaches, bien qu’une nous ait fait peur», explique Vincent Boillat, le 28 octobre, dans le bureau du biogaz de l’exploitation familiale gérée avec sa sœur et son beau-frère.
Cet article vous intéresse ?
Abonnez-vous dès maintenant pour accéder à tous nos articles et médias.
Les bonnes raisons de s’abonner
Accès illimité aux contenus réservés aux abonnés
Accès au journal numérique dès 5h
Livraison à domicile chaque vendredi
Déjà abonné(e) ? Se connecter