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Courants vagabonds. «La fréquence des visites vétérinaires a pris l’ascenseur»

Lors d’une assemblée réunissant des agriculteurs neuchâtelois, Pierre-Yves Nicolet, producteur laitier de la vallée des Ponts-de-Martel, a diffusé un film témoignant des méfaits sur son bétail des courants électriques vagabonds traversant les installations de sa ferme ou le sol des bâtiments. Il revient sur sa situation.

Pierre-Yves Nicolet devant le transformateur de séparation.J.-A. Choffet

Propos recueillis par Jacques-André Choffet

Propos recueillis par Jacques-André Choffet

8 janvier 2025 à 15:23, mis à jour le 9 janvier 2025 à 13:51

Temps de lecture : 3 min

C’était en 2022, les images projetées montrant que ses animaux étaient en souffrance avaient ému l’assemblée. Par pudeur, de nature à ne pas se projeter sur le devant de la scène et pour ne pas envenimer les démarches en cours avec les distributeurs d’électricité ou autres propriétaires d’antennes de téléphonie mobile, il n’avait pas souhaité élargir l’information par voie de presse.

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