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Courants vagabonds. «Ce n’est pas un phénomène marginal»

Noémie Jaunin, en fin d’étude à Zollikofen, a réalisé un travail de bachelor sur les courants vagabonds. Avec le soutien de Prométerre, son objectif est de faire mieux connaître la problématique.

Diagnostiquer et intervenir rapidement résoudrait bien des problèmes liés aux courants vagabonds, insiste Noémie Jaunin.P.-A. Cordonier

Propos recueillis par Pierre-André Cordonier

Propos recueillis par Pierre-André Cordonier

15 novembre 2024 à 00:00, mis à jour le 18 novembre 2024 à 08:51

Temps de lecture : 6 min

Non issue d’un milieu agricole, Noémie Jaunin a très tôt souhaité devenir agricultrice. Elle vit aujourd’hui à la ferme de son compagnon à Vulliens (VD), qui va reprendre l’exploitation familiale. Elle partagera son temps de travail entre son emploi actuel chez l’entreprise d’aliments pour le bétail Granovit et, plus tard, la gestion du bétail de l’exploitation. Noémie Jaunin a rendu fin juillet son travail de bachelor «Les courants vagabonds dans l’agriculture suisse. Un aperçu de la situation actuelle» à la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires (HAFL).

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