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Dossier

Épizootie. La langue bleue fait peser un risque considérable sur les troupeaux d’ovins

Les moutons sont particulièrement sensibles à la maladie de la langue bleue. La vaccination est le meilleur moyen de prévenir les formes graves de la maladie et les pertes économiques qu’elle induit.

Après avoir procédé à une pesée d’intérêts, Josquin et Séverine Pasquier, ici avec leur fille Marceline et leur berger des Abruzzes Ourso, ont opté pour la vaccination de leur troupeau de brebis laitières.V. Gremaud

Vincent Gremaud

Vincent Gremaud

Aujourd’hui à 10:11

Temps de lecture : 4 min

Agriculteurs à Hauteville (FR), Josquin et Séverine Pasquier ont été parmi les premiers à vacciner leurs animaux contre la maladie de la langue bleue, en novembre dernier. «L’automne dernier, nous étions un peu inquiets de l’évolution de la maladie», explique le Gruérien, qui en a alors discuté avec son vétérinaire. «Dès que les autorités fédérales ont autorisé les vaccins, il nous a téléphoné pour savoir si nous en voulions et j’ai dit oui.»

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