Les cheffes d’exploitation augmentent, lentement. Une partie ne se sent pas représentée, ni par la faîtière féminine, ni par l’Union suisse des paysans. Des échanges s’organisent.
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Fabienne Morand
10 février 2025 à 14:19
Dans les assemblées agricoles, les femmes cheffes d’exploitation sont rarement plus d’une ou deux. Fréquemment, la place qu’on leur propose au comité est celle de secrétaire, sans y envisager un homme. C’est ainsi qu’est née, en 2023, la plateforme d’échanges pour les cheffes d’exploitation bio. «Nous ne voulions pas exclure les non-bios, cependant, pour le début, nous souhaitions nous concentrer sur nos membres», précise Yvonne Brunner, assistante de direction chez Progana, qui coordonne les tables rondes.
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Comme chaque année, les membres de l’Association fribourgeoise de paysannes (AFP) étaient conviées à leur assemblée générale. Celle-ci a eu lieu jeudi 20 février à Wallenried, dans le district du Lac.
