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Animaux

Régulation. Le Valais salue sa gestion du loup

Vingt-sept canidés ont été prélevés dans le cadre de la régulation proactive du loup. Le conseiller d’État en charge du dossier a salué l’action qui doit «favoriser la cohabitation avec le prédateur».

Frédéric Favre, conseiller d’État en charge du Département de la sécurité, des institutions et du sport du Valais (à gauche), et Nicolas Bourquin, chef du Service de la chasse, de la pêche et de la faune.V. Gillioz

Vincent Gillioz

Vincent Gillioz

6 février 2024 à 16:30

Temps de lecture : 3 min

Le conseiller d’État en charge du Département de la sécurité, des institutions et du sport du Valais, Frédéric Favre, a tiré le bilan de la régulation proactive du loup, lundi 5 février. Il a profité de son intervention pour rappeler la position de son dicastère sur le sujet: «Il n’y a pas de débat idéologique quant à notre action. L’objectif de celle-ci est de minimiser les conflits entre le loup et les humains, dans le but de favoriser la cohabitation avec la population, le tourisme, les éleveurs et les autres espèces sauvages. Le débat est à Berne et pas en Valais». Cette clarification faite, il a rappelé le contexte dans lequel cette régulation a eu lieu. Précisant qu’elle ne saurait être assimilée aux tirs «réactifs» qui font suite à des attaques sur les alpages protégés ou non protégeables en période d’estive.

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